CHRÉTIEN Eugène

Trélazé.

  Considéré en 1894 et 1896 par la gendarmerie d’Angers-Justices comme anarchiste. Il demeure alors, village des mille-pieds1 . Selon le mémoire de Jean-Paul Brachet, il demeure à Mille-Pré dans la commune d’Angers [je suis circonspect]. Le 11 mars 1894, comme de nombreux autres compagnons pendant l’année 1894 (au moins 9 vagues de perquisitions chez les anarchistes locaux), il subit une perquisition. Selon J-B Brachet, sont saisies des brochures chez lui : la loi et l’Autorité de Kroptkine; Le petit catéchisme socialiste par Tabaraut (en fait Tabarant) et une brochure titré Prolétaires, Debout de Le Bileard.

1 A.D.49. : 4M6/24.

L.B.

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